Outre la vitesse et l’efficacité, la simplicité d’utilisation est la marque de l’expérience client de NetJets : Il suffit d’utiliser l’application NetJets pour réserver des vols, et de se rendre au terminal aéroportuaire privé à l’heure prévue. Tout le reste – des formalités douanières à bord jusqu’aux repas en vol – est géré de façon transparente.
Les options de parts en multipropriété sont fixées à un quart, un huitième et un seizième d’un avion donné. Les membres obtiennent un nombre d’heures de vol garanti à bord de cet avion (à partir de 50), avec surclassement gratuit dans la flotte de 750 avions de NetJets si leur modèle n’est pas disponible.
Grâce à la multipropriété, vous pouvez aligner le degré de propriété d’un appareil sur vos besoins, indique Patrick Gallagher, président des ventes, du service et du marketing de NetJets. Une option de crédit-bail permet aux propriétaires d’échelonner leurs paiements, tandis que le programme de carte Marquis de la société permet aux entreprises et aux particuliers de tâter le terrain avec seulement 25 heures de vol annuelles.
Avec des ventes d’une année sur l’autre en hausse de 150 pour cent entre la totalité de 2019 et les sept premiers mois de 2020, beaucoup de programmes de NetJets connaissent une génération moderne d’utilisateurs d’avions privés.
« Les gens se rendent maintenant compte que le luxe ultime, c’est la tranquillité d’esprit. Ce qui semblait extravagant devient davantage une nécessité », dit M. Gallagher.
« Tranquillité d’esprit » peut avoir plusieurs significations pour la clientèle de NetJets. Pour les entreprises qui dépendent de NetJets pour transporter rapidement leurs hauts dirigeants là où ils doivent aller, c’est la commodité de réserver un avion d’affaires Challenger ou Global de Bombardier presque aussi facilement qu’un véhicule Uber. Pour beaucoup de bien-nantis, c’est l’utilité de laisser NetJets gérer leur avion : « Vous confiez tout... de l’embauche et de la formation des pilotes à la souscription de l’assurance, à l’exécution de la maintenance de l’avion, en passant par tous les pépins mécaniques à la gestion de l’horaire et à la régulation des vols. Littéralement tout est laissé à NetJets », dit M. Gallagher.
Il explique que le modèle de multipropriété de NetJets surpasse les vols nolisés par la constance des normes en matière d’avion et d’équipage. « Vous n’avez pas à vous inquiéter de la boîte de chocolats qu’est le secteur du nolisement, où vous ne savez jamais ce que vous allez obtenir », ajoute-t-il.
Aujourd’hui, la tranquillité d’esprit, c’est également éviter les inconvénients à l’heure de la COVID, comme les horaires réduits des sociétés aériennes commerciales et les avions bondés. NetJets a répondu à la crise sanitaire en dépistant la COVID pour tous les membres d’équipage, en vaillant au respect du port du masque et de la distanciation physique, investissant 1 million de dollars par mois dans des protocoles de nettoyage et de désinfection plus poussés, et en réduisant l’utilisation d’avions commerciaux pour transporter ses équipages aux plaques tournantes NetJets.
Alors que le monde est bien différent de ce qu’il était il y a un an, disposer d’un avion privé sur demande demeure le surclassement ultime pour les dirigeants d’entreprise. Malgré les défis dans ce secteur, NetJets envisage l’avenir du transport aérien privé et celui de sa flotte Bombardier avec optimisme. « Nous n’achetons pas d’avions à moins d’avoir des clients qui ont signé un contrat d’achat de parts de ces appareils, dit M. Gallagher. Le nombre d’avions Bombardier dans notre flotte en dit long sur leur degré d’appréciation par les clients de NetJets. »